Depuis Euclide, nous savons qu'il existe une infinité de nombres premiers. L'argument est en contradiction: S'il n'y a que nombre fini, disons que p1,p2,...,pnp1,p2,...,pnp_1,p_2,...,p_n , alors sûrement m:=p1⋅p2⋅...⋅pn+1m:=p1⋅p2⋅...⋅pn+1m:=p_1\cdot p_2\cdot...\cdot p_n+1 n'est divisible par aucun...