Comment calmer un enfant de 6 ans frustré?

Lorsque notre fille de 6 ans essaie quelque chose de nouveau et de difficile (devoirs, lire un mot dur, jeux vidéo, etc.), elle peut entrer dans un cycle de frustration et de colère qui se termine par ses pleurs dans une balle au sol.

Cela commence par une erreur et par la correction de ma part. Normalement, elle a déjà passé plusieurs points durs avec succès ou est fatiguée. J'ai essayé des variantes sur "stop", "non", "attendre", "accroche-toi" et "juste une seconde", mais elles ont toutes la même chose. résultat: une vive frustration vocale de sa part, suivie de moi, réalisant où cela se dirigeait et essayant de le désamorcer.

En cours de route, elle peut essayer de placer le travail dans un endroit que je ne peux pas voir ou d’essayer de le terminer rapidement même s’il est incorrect. Elle se plaindra de ne pas comprendre quelque chose, mais ne me laissera rien expliquer.

Choses que j'ai essayé d'arrêter la spirale:

• Suggérant de prendre une pause
• Soulignant qu'il est facile de le frotter et d'essayer à nouveau
• Traversant le problème depuis le début
• Crier en retour (?!)
• Soulignant que cela se termine toujours avec sa colère et nous devrions essayer d'éviter que
• Utiliser un ton de voix apaisant
• Suggérant que je le fais pour elle et qu'elle copie!
• Remarquant quand elle est fatiguée et sujette à la frustration et essayant d'arrêter l'exercice tôt ("je peux le faire!") (Peut-être que je pourrais essayer plus énergiquement de le faire? Une fois, cela s'est terminé par une crise semblable)

Il finit avec elle en larmes et l'un de nous quittant la pièce. Cela peut prendre 30 minutes pour qu’elle se calme à quel point elle peut normalement le faire.

Quelqu'un a-t-il d'autres tactiques que je pourrais essayer?

Cela commence par une erreur et par la correction de ma part.

Alors ne la corrige pas. En particulier, son travail scolaire devrait être le sien et le sien seul. Un enseignant ne s'attend pas à un travail correct à 100%, il veut voir dans quelle mesure un élève a compris le sujet actuel. Laissez les corrections à l'enseignant. Et elle peut même retourner à l’école sans faire ses devoirs (mais il est impératif d’essayer), dire à l’enseignante qu’elle n’a pas compris ou n’a pas pu résoudre le problème et obtenir une autre explication.

L'échec fait partie de la vie. Accepter ses propres limites et composer avec des échecs ou des erreurs peut être difficile, mais chaque enfant doit l'apprendre à un moment donné. Et oui, cela peut signifier des crises de colère et des larmes, mais moins vous essayez de le résoudre, mieux c'est. Vous pouvez être une caisse de résonance si elle a besoin d'évacuer ou quelqu'un pour la consoler si c'est ce dont elle a besoin, mais n'essayez pas de résoudre son problème - à moins qu'elle ne demande explicitement de l'aide. Emmener son travail à un autre endroit est pour moi un signe qu'elle veut être laissée seule et s'en sortir toute seule. Donnez-lui la liberté de prendre des responsabilités. Pensez-y à quel point elle sera fière si elle la résolvait seule et sans que vous ne corrigiez et n'amélioriez son travail.

La plupart des réponses (ainsi que votre question) donnent à penser que votre fille était incapable ou pas disposée à accepter ses propres erreurs.

Mais quand j'ai lu ces phrases

Cela commence par une erreur et par la correction de ma part. [...] J'ai essayé des variantes sur "arrêter", "non", "attendre", "raccrocher" et "juste une seconde" mais elles ont toutes le même résultat.

on dirait que vous êtes assis à côté d'elle, surveillant par-dessus son épaule et corrigeant immédiatement toute erreur qu'elle commet immédiatement (pourquoi auriez-vous besoin de phrases comme "arrêtez-vous" ou "accrochez-vous"?).

Laissez-moi vous dire que c’est le moyen idéal pour créer de la frustration.

Demander à quelqu'un de signaler toutes les imperfections en quelques secondes et sans aucune possibilité de reconnaître et de corriger l'erreur vous-même est tout simplement démoralisant. Sur de plus longues périodes, votre estime de soi est épuisée et vous donne un sentiment d'incapacité et d'impuissance (surtout si l'erreur que vous avez commise est petite, vous savez que vous vous seriez reconnu si vous en aviez eu l'occasion).

De cette façon, tout, même des choses amusantes comme les jeux vidéo, peut devenir un cauchemar frustrant si un parent ou un grand frère ou une grande soeur souligne ce que vous faites mal tout le temps.

Alors reculez un peu.

Quand elle fait ses devoirs, ne vous assoyez pas à côté d’elle, mais dans la pièce voisine.

Assurez-vous qu'elle sait que chaque fois qu'elle a besoin d'aide, elle peut venir vous voir et demander, mais n'intervenez pas jusqu'à ce qu'elle pense elle-même que c'est fait.

Bien sûr, vous pouvez toujours vérifier son travail et signaler toutes les failles en même temps et lui demander de les corriger (comme "Vos solutions sur les exercices 1, 5 et 7 sont fausses. Pensez-vous pouvoir les corriger vous-même?")

Je suis d'accord avec l'excellente réponse de @ Stephie. Je voudrais développer un point (échec).

Y a-t-il d'autres tactiques que je pourrais essayer?

Oui. Essayez de lui inculquer l’idée que le succès n’est pas le résultat le plus important de son travail. Cela fait partie de l'enseignement de la résilience .

Une définition incomplète de la résilience est la capacité de surmonter la peur et le stress sans intérioriser un message négatif. C'est la capacité de se remettre rapidement des difficultés dues à un état d'esprit particulier vis-à-vis des priorités, par exemple en considérant l'échec comme une opportunité plutôt que comme une déclaration négative à propos des capacités.

Essayer des choses dont elle a peur ou le maintenir (jusqu’à un point) quand elle est fatiguée, ou tirer des leçons de ses erreurs: c’est le genre de choses qui demandent du courage et qui forgent un bon caractère. La résilience la servira beaucoup mieux dans la vie que les bonnes notes. La résilience dans le travail scolaire se traduit par tous les aspects stressants de la vie.

Vous trouverez ci-dessous un bon point de départ pour enseigner la résilience à la maison. Bien que cela s'adresse aux éducateurs, les parents sont l'éducateur ultime de l'enfant.

Ressources sur le développement de la résilience, du grain et de la croissance

Le point de Stephie est valable - et je me demande si elle réagit de la même manière à l'école quand elle n'est pas parfaite. Si c'est seulement un problème à la maison, alors je pense que son conseil est dingue. Cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas aider.

Si elle a des problèmes partout, peut-être qu’elle a le sentiment que se tromper est une mauvaise chose. Tant d'enfants ont ce sentiment. Nous pouvons essayer de les construire et de gagner en confiance.

• Lorsque vous ou votre partenaire faites une erreur, signalez-la. "Oups! J'ai jeté les papiers sur le sol! Ce n'est pas grave, mais est-ce que tu vas m'aider à les nettoyer?" "J'ai fait une erreur. Aujourd'hui, c'est dimanche, pas samedi. Idiote! Oh, ben!"

• Montrez-lui qu'elle est importante pour vous, peu importe quoi. Demandez-lui son opinion, surtout à propos de choses que vous ne pouvez pas corriger. Parcourez un livre sur la nature et demandez quelles images elle préfère, ou quelle couleur elle aime, puis félicitez-la pour ces idées.

• Demandez-lui comment résoudre un problème - la télévision est idéale pour cela. Arrêtez son émission et aidez-les à réfléchir à ce que les personnages vont faire pour résoudre leur problème.

• Une pression profonde - comme un bon câlin fort, peut faire des merveilles. Souvent, lorsqu'un enfant est submergé émotionnellement - pour une raison quelconque - si vous passez du temps avec lui , que vous câliniez et ne parliez pas du tout, cela rassurait. Le temps mort est le temps libre. Vous n'êtes pas en colère et si vous l'êtes - n'essayez pas ceci avant d'être calme et heureux.
• Choix - lui permettre de faire des choix et de vivre avec les conséquences. Si vous lui demandez si elle veut un pull et qu'elle refuse, mais décide qu'elle a froid, laissez-la résoudre le problème. Ensuite, vous pouvez la féliciter pour résoudre son propre problème.
• Assurez-vous qu'elle ne soit pas victime d'intimidation à l'école ou à la garderie. Cela peut rendre les enfants émotifs même lorsque tout semble aller pour le mieux.

Je vais y répondre en demandant "Combien de temps dure un bout de ficelle?".

Et il s’agit vraiment d’approches et de techniques individuelles qui fonctionnent pour certains et pas pour d’autres.

Je vais répondre à cette question en tant que parent, car moi aussi j'ai un garçon de 7 ans qui crie quand il ne peut pas faire quelque chose, mais je lui dis "TU PEUX"! Cela aggrave encore la situation. Il transforme mon offre "d'encouragement" en argument et il ne s'agit plus de la tâche, mais de l'identité du vainqueur.

Quoi qu'il en soit, c'était dans l'ancien temps (il y a quelques mois en fait). Je ne nous laisse pas discuter. Je ne vais tout simplement pas au-delà de ma frustration personnelle.

J'avais l'habitude de crier et d'exiger qu'il essaye encore et encore jusqu'à ce qu'il réussisse. Oh mon garçon était si stupide à tant de niveaux!

Ok voici ce que je fais. Essaie...

[1] Enfant assis à la table essayant d'écrire quelques mots ou faisant ses devoirs

[2] Vous êtes occupé à faire la cuisine

[3] L'enfant commence à émettre des grognements et à murmurer quelques gros mots

[4] Vos oreilles se dressent mais vous ne réagissez pas encore

[5] Enfant crie - CUEILLET, JE NE PEUX PAS LE FAIRE!

[6] Vous le regardez, souriez et écoutez. Laissez-le sortir sa frustration et sa colère. Laissez la vapeur se dissiper

[7] Maintenant c'est à vous. Approche et offre d'aider. Si rejeté, retournez à ce que vous faites. NE PAS INSISTER SUR AIDER. Même si vous savez qu'il fait des erreurs, laissez-le!

[8] Si l'enfant accepte de l'aide, asseyez-vous à côté d'eux. Ne vous tenez pas à côté d'eux. Cela ajoute aux angoisses possibles.

[9] Offre - d'accord, comment puis-je vous aider? N'essayez pas de faire quoi que ce soit. NE PAS ATTEINDRE LEUR TRAVAIL OU DEVANT LEURS YEUX.

[10] L'enfant commence une autre crise parce que tu ne fais pas tout! ou quelque chose comme ça. Si oui, répétez l'étape 6

[11] Demander à nouveau - puis-je regarder? Puis je essayer? PUIS-JE ... très important le mot MAI

[12] Offrez-lui un verre, un festin, de quoi les distraire et les ramener au calme.

[13] Maintenant, prenez leur problème au sérieux et suggérez dans un extrait une façon d’aller de l’avant, comme ".. hé, j’ai une idée ... remplissez ces petites lettres, dessinons-en une dans la couleur de votre choix et agrandissez-la ... comme toute la feuille même ... ".

AMUSE-TOI!

etc.

La question est How to calm a frustrated 6yo.

La majorité des réponses semblent indiquer comment éviter que le 6 ans soit contrarié. Bien qu'ils contiennent beaucoup de bons conseils, ils semblent ignorer une grande partie de cette question.

Nous utilisons une technique introduite par l'école de notre fils lorsqu'il avait 4 ans. Il l'utilise beaucoup moins souvent maintenant (il a 6 ans), mais cela reste utile.

L'école s'y réfère comme le temps de la tortue ou la technique de la tortue:

1. Reconnaissez que vous vous sentez en colère.

2. Pensez "Stop" à vous-même.

3. Allez dans votre "coquille". Prenez trois grandes respirations et réfléchissez à des pensées apaisantes, telles que: «Je peux me calmer», «Je vais bien», «Je peux penser à des solutions à mon problème», «Je suis bon pour résoudre les problèmes». Les enfants peuvent aussi penser à détendre votre corps une partie du corps à la fois.

4. Sortez de votre coquille quand vous êtes calme et prêt à penser à des solutions au problème.

Lorsqu’ils l’ont introduite, l’école disposait d’un espace pour l’étape 3, mais elle a également encouragé le recours à une posture spécifique: le dos détourné de tout ce qui vous contrarie, les bras vous serrant dans vos bras. Cela le rend immédiatement évident du langage corporel lorsque l'enfant est contrarié.

Nous continuons toujours avec notre propre étape 5, qui est "maintenant que vous êtes plus calme, dites-nous pourquoi vous êtes contrarié".

Cela donne à l'enfant le contrôle de la situation, lui permettant de communiquer clairement et efficacement qu'il est contrarié, tout en lui laissant le temps dont il a besoin pour reprendre le contrôle de ses émotions, tout en lui permettant de prouver qu'il aura bien une occasion d'expliquer exactement pourquoi ils sont contrariés, une fois qu'ils sont prêts à le faire.

Un élément clé de ce processus est que vous devez écouter ce qu’ils disent. Nous poursuivons en répétant ce qui inquiète mon fils, puis en discutant avec eux de la manière dont nous pourrions éviter cela à l'avenir.

Juste ... laisse-la être. Laissez-la comprendre par elle-même comment y faire face. La dernière chose que vous souhaitez faire est de renforcer / récompenser le comportement négatif.
Si vous lui donnez de l'attention à un pic négatif, cela transformera ce comportement en un comportement récompensé par l'attention d'un être cher. Cela déclenchera plus de comportements négatifs pour attirer plus d'attention.

J'ai eu un enfant de 4 ans qui a découvert l'âne kong sur la N64 il y a quelques années. Il l'a aimé mais l'a trouvé très dur. Il y avait régulièrement des cris de frustration, un contrôleur jeté sur le sol ou des sanglots sur le sol.

Juste, laissez-le jouer. Une fois que la frustration est dissipée, ils décident d’eux-mêmes, où ils s’arrêtent, déterminés à l’obtenir.
À ce stade, lorsque la ventilation est terminée et qu'ils sont à nouveau «normaux», vous pouvez dire que vous pouvez le faire. Je crois en toi. Vous allez l'apprendre. Vous ne voulez à aucun moment faire cela quand ils sont frustrés car cela ne fera qu'amplifier la frustration et récompenser le comportement négatif.

Vous voulez récompenser le ramassage à nouveau, en revenant sur le cheval. Pas en aucun cas en reconnaissant l'évacuation de la frustration.

Il joue maintenant mieux que moi au Donkey kong, et il l’a lui-même enseigné, avec une aide minimale de ma part (bon, j’ai battu quelques patrons, mais il a joué lui-même, résolvant tous les énigmes (même s’il ne peut pas lire l'anglais))

Un enfant aussi jeune doit apprendre à gérer ses propres émotions. Comment les reconnaître, comment les gérer, comment continuer après?
Si vous les arrêtez trop tôt, ils ne viendront jamais pour apprendre leurs "limites" et ne reconnaîtront pas les situations plus tard, car ils ne connaissent pas toute l'étendue des émotions. Mieux vaut "faire rage" quand ils sont jeunes et se rappeler d'eux-mêmes quand ils sont plus âgés que de rage lorsqu'ils sont adolescents / adultes sans limites autodidactes.

Faire en bref: ne pas désamorcer. Offrez-lui un sac de boxe à la place. laissez-la crier un peu. c'est sain. cela enseignera d'autres leçons que ce qu'elle faisait.

Puis, une fois de retour au calme, suivez les étapes que vous avez énumérées.

Eh bien, comme je ne peux pas commenter, je vais faire de mon mieux pour mettre une réponse bien formatée, alors supportez-moi. Cela ne vous donnera peut-être pas la solution exacte ou le comportement que vous devriez adopter, mais cela peut être utile à long terme !

Eric Berne a théorisé l' analyse transactionnelle qui, à son niveau le plus simple, est la méthode d'étude des interactions entre individus. En plus de l'analyse des interactions entre les individus, l'analyse transactionnelle implique également l'identification des états du moi derrière chaque transaction. En définitive, Berne définit les trois états du Moi comme suit: parent , adulte et enfant . Pour un niveau de compréhension élevé, vous feriez mieux de vous référer à ce livre . D'un autre côté, cependant, toutes les transactions entre humains ne sont pas saines ou normales. Dans ces cas, la transaction est classée comme une transaction croisée .

Vous devez donc constamment équilibrer les situations dans lesquelles vous et votre enfant de 6 ans en sortez et je suis tout à fait d’accord avec la réponse rapide de @ Stephie dans votre cas.

J'ai aussi une autre suggestion à vous faire lire! Ce serait formidable, si vous pouviez vous permettre de consulter le livre d' Adele Faber et Elaine Mazlish [ Comment parler pour que les enfants écoutent et qui écoutent pour que les enfants parlent ], pour comprendre presque tous les aspects de cette aventure appelée élever un enfant !

Bonne chance :)

Il vaut mieux la laisser apprendre elle-même, pour ne pas être frustrée, mais avoir le sentiment de réussir. Vous pouvez lui donner des indices en posant des questions sur le problème, par exemple:

"Serait-il préférable d'écrire ce mot avec deux ...?"

Si inévitable, expliquez les erreurs avec des formulations positives, par exemple "Cela aurait été mieux si ...". Cela sonne beaucoup mieux que "Vous avez mal agi à ..."

Cela peut (ou non) ajouter de la perspective sans nécessairement ajouter plus de connaissances à ce qui a déjà été mentionné ci-dessus:

Je considère les enfants comme des toiles vides ayant un objectif clair, au cours de leurs années formatrices, de collecter de l'encre . Ce n’est qu’après avoir atteint leur maturité et leur croissance qu’ils ont commencé à utiliser l’encre recueillie tout au long de leur parcours, peignant leurs toiles avec des couleurs chaudes de succès, froides d’échecs et de nombreuses autres expériences.

Par inadvertance en tant que parent, vous serez coupable de leur avoir non seulement donné de l'encre, mais également peint sur leur toile. Ce n'est pas une mauvaise chose, mais il vaut probablement mieux faire attention à ce que vous peignez. Qu'il s'agisse de religion, d'éducation, de choix de carrière, de loisirs ou de toute autre matière facilement impressionnable, votre responsabilité à l'égard de votre enfant consiste à lui donner les outils nécessaires pour survivre de manière autonome, une fois que vous serez absent. Plus tôt ils deviennent indépendants, mieux c'est, même si vous êtes toujours là pour eux.

Rappelez-vous que les autres ne nous enseignent pas - nous apprenons nous-mêmes . L’éducation a pour objectif de nous donner les outils et la motivation nécessaires pour explorer plus avant un sujet. C'est pourquoi on nous donne des devoirs à la fin d'un cours plutôt que de finir avec des faits qui nous remplissent la tête en classe jusqu'à ce qu'ils éclatent, puis supposent que nous sommes imprégnés de tout.

Si vous voulez que vos enfants réussissent dans tous les domaines auxquels ils échouent, trouvez des moyens de les faire aimer réellement le sujet. Ils vont apprendre dans quelques semaines ou quelques mois et vous étonner de leurs progrès soudains. Avant de vous en rendre compte, vous vous retrouverez à leur acheter des livres sur un sujet que vous ne comprenez plus et votre enfant le parcourra comme si tous les faits énoncés étaient évidents.

S'ils ne trouvent jamais de passion dans ce sujet, ce n'est pas pour eux. Inutile de les torturer et de leur faire perdre leur temps sur un sujet pour lequel ils lutteront tout au long de leurs premières années pour obtenir une note de passage, et ne l'utiliseront plus jamais pour le reste de leur vie.

Aidez-la à la guider, gardez son encre propre, empêchez sa toile de se maculer et montrez-lui les différentes techniques pour continuer à se peindre une peinture brillante et vivante!

Vous pouvez également l’attacher à une chaise et faire ses devoirs en l’appelant de façon répétée comme un chouchou, en clouant point par point. Ça va leur montrer! : D (plaisantant bien sûr)

Essayez de les mettre dans une couche. Les enfants veulent grandir, comme leurs amis et leur famille. Si vous les mettez dans une couche à chaque fois qu'ils sont frustrés et que vous leur dites qu'ils se comportent comme un bébé, vous allez donc les traiter comme un bébé, très rapidement, ils associent la frustration à être bébé et à s'éloigner de la puérilité. faire tous les efforts pour éviter de devenir frustré.

Ce n'est pas une méthode de discipline, mais c'est en outre une méthode de modification du comportement utilisant le renforcement négatif. Si vous donnez à l'enfant un bonbon ou un chocolat alors qu'il est calme, il associera également le calme et le plaisir tout en appréciant le goût du bonbon. Cela encouragera également un comportement calme.