Considérez le problème de trouver le nombre maximum de chevaliers qui peuvent être placés sur un échiquier sans que deux d'entre eux ne s'attaquent. La réponse est 32: il n'est pas trop difficile de trouver une correspondance parfaite (le graphique induit par les mouvements de chevalier est bipartite, et il y a une correspondance parfaite pour une planche 4 × 4), ce qui est évidemment une couverture de bord minimale. Il n'est pas non plus difficile de prouver que la réponse est pour unéchiquierchaque fois que: il suffit d'afficher les correspondances pouret de faire un peu de jeu de jambes à induction.
D'un autre côté, si l'échiquier était toroïdal et étaient pairs, la preuve ne nécessiterait même pas de montrer une correspondance pour les petites planches: la carte n'a que cycles de longueur égale donc il doit y avoir une correspondance parfaite.
Y a-t-il un équivalent pour les échiquiers rectangulaires , c'est-à-dire qu'il existe un moyen plus simple de montrer que pour un suffisamment grand , il y a toujours une parfaite correspondance de l'échiquier? Pour les grandes planches, la carte rectangulaire et la carte toroïdale sont presque équivalentes dans le sens où la fraction des bords manquants va à zéro, mais je ne connais aucun résultat théorique qui garantirait une correspondance parfaite dans ce cas.
Et si, au lieu de sauter dans l'une ou l'autre direction, un chevalier sautait ( 2 , 3 ) carrés dans l'une ou l'autre direction? Ou, d'ailleurs, ( p , q ) carrés, avec p + q impair et p , q coprime? S'il est un moyen simple , de prouver que la réponse est ⌈ m npourm,n(disonsm,n≥C(p,q))suffisamment grand, à quoi ressembleC(p,q)?
Réponses:
La réponse n'est PAS pour tout grandm,nsi par exemplep=6etq=3. Pourquoi? Notez qu'en raison des restes⌈ m n2⌉ m , n p = 6 q= 3 maintenant le graphique est l'union (vertex) disjointe de trois graphes bipartis et de chacun nous pouvons sélectionner la plus grande moitié. Par exemple, si m = n = 100 , alors nous pouvons placer (au moins) 5002 chevaliers. (C'est parce que x + ymod3 m = n = 100 a six classes qui sont en trois paires, les différences entre les cardinalités des paires sont 1 , 1 , 2. )x + ymod6 1 , 1 , 2
Je ne sais pas ce qui se passe si on ajoute la condition que et q sont des nombres premiers relatifs. (Notez que mis à part le diviseur 2, cela équivaut à p + q et p - q étant des nombres premiers relatifs, en fait c'est la condition dont nous avons besoin et qui montre également que p + q étant impair est nécessaire.)p q p + q p−q p+q
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