Étant donné un alphabet , combien de langues différentes sont régulièrement là- bas qui peuvent être acceptées par un -state automate fini non déterministe?
À titre d'exemple, considérons . Nous avons alors configurations de transition différentes et configurations d'état de début et de fin différentes, nous avons donc une limite supérieure de langues différentes.
Cependant, beaucoup d'entre eux seront équivalents et puisque le test est PSPACE-Complete, il est probablement impossible de tester chaque paramètre.
Existe-t-il d'autres moyens ou arguments combinatoires qui limitent le nombre de langues différentes acceptées par une ressource donnée?
Réponses:
Ceci est un résumé de l'article sur le nombre de langues distinctes acceptées par les automates finis avec n États . Le document fournit relativement facile, mais loin d'être des limites strictes, inférieures et supérieures sur le nombre de langues distinctes acceptées par les NFA. Leur discussion sur le nombre de DFA distincts est très intéressante, je vais donc également inclure cette partie.
L'article commence par une asymptotique assez rigoureuse pour le nombre de langues distinctes acceptées par un DFA avec états sur un alphabet unaire. Cela se fait en observant dans quelles conditions un DFA unaire à n états donné est minimal. Dans de tels cas, la description de l'automate peut être mappée (bijectivement) à un mot primitif , et l'énumération de ces mots est bien connue et effectuée à l'aide de la fonction Möbius . En utilisant ce résultat, les limites des alphabets non unaires, à la fois dans le DFA et dans le cas du NFA, sont prouvées.n n
Allons plus en détail. Pour un alphabet à lettres, définissez f k ( n )k
Notez quegk(n)=∑ n i = 1 fk(i). Nous commençons parf1(k)etg1(k).
Dénombrement des DFA unaires
Un DFA unaire avec les états q 0 , … , q n - 1 est minimal ssiM=(Q,{a},δ,q0,F) q0,…,qn−1
La boucle est minimale si le mot a j ⋯ a n - 1 défini par a i = { 1qj,…,qn−1 aj⋯an−1
estprimitif, cela signifie qu'il ne peut pas être écrit sous la formexk
pour un motxet un entierk≥2.
Le nombreψk(n)de mots primitifs de longueurnsur lesalphabets àklettres est connu, voir par exemple Lothaire,Combinatorics on Words. On a
ψk(n)=∑d | nμ(d)kn/
Énumération des DFA
L'étape suivante est une borne inférieure pour . Le théorème 7 énonce que f k ( n ) ≥ f 1 ( n ) n ( k - 1 ) n ∼ n 2 n - 1 n ( k - 1 ) n . Pour un ensemble Δ ⊂ Σ d'un automate M , définissez M Δ comme la restriction de M à Δ .fk(n)
La preuve fonctionne en considérant l'ensemble de DFA M sur l' alphabet à k lettres { 0 , 1 , … , k - 1 } défini par
Dénombrement des NFA
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