La plupart des moteurs de rendu modernes utilisent des matériaux physiques et leurs modèles sont souvent paramétrés sur la rugosité. Comme ce n'était pas toujours le cas avec les moteurs de rendu, les actifs conventionnels n'ont souvent pas de notion de rugosité. Au lieu de cela, nous voyons la «brillance» ou la «puissance spéculaire» comme un paramètre matériel commun.
Je comprends qu'il n'y a pas de conversion exacte entre les deux, mais existe-t-il une méthode empirique / approximative pour obtenir la rugosité d'un matériau dont la puissance spéculaire ou la brillance est connue?
Réponses:
Comme vous l'avez déjà noté, il n'y a pas d'interprétation / conversion claire pour ces valeurs. Je pense que c'est encore pire: selon votre BRDF et vos limites internes (comme avoir des exposants définis allant de 2 à 2048), l'interprétation est complètement différente. Comme suggéré dans les commentaires, il peut être préférable de rendre une série avec différentes valeurs et d'ajuster une courbe de conversion jusqu'à ce que la valeur soit intuitive.
Quelques exemples, j'ai pu trouver des articles de blog qui mentionnent quelque chose à ce sujet:
2/roughness^4 - 2
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