Étant donné un nouveau problème dans dont la véritable complexité se situe quelque part entre et NP-complete, il existe deux méthodes que je connais qui pourraient être utilisées pour prouver que la résolution de ce problème est difficile:
- Montrer que le problème est GI-complet (GI = Graph Isomorphism)
- Montrer que le problème est dans . Selon les résultats connus, un tel résultat implique que si le problème est NP-complet, alors PH s'effondrera au deuxième niveau. Par exemple, le fameux protocole pour le nonisomorphisme graphique fait exactement cela.
Existe-t-il d'autres méthodes (peut-être avec différentes «forces de conviction») qui ont été utilisées? Quelle que soit la réponse donnée, il faut un exemple d'utilisation concrète: il y a évidemment plusieurs façons de montrer cela, mais les exemples rendent l'argument plus convaincant.
cc.complexity-theory
np-hardness
graph-isomorphism
np-intermediate
Suresh Venkat
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Réponses:
Montrer que votre problème est en mode CoAM (ou SZK) est en effet l’un des principaux moyens de produire des preuves de "limbo dureté". Mais à part cela, il y en a plusieurs autres:
Je suis sûr qu'il y en a d'autres que j'oublie.
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D'après le commentaire ci-dessus: si un problème semble assez difficile, mais que vous ne pouvez pas prouver qu'il est NP-complet, une vérification rapide consiste à compter le nombre de chaînes de longueur dans la langue: si l'ensemble est clairsemé, il l'est peu probable d'être NPC, sinon P = NP d'après le théorème de Mahaney ... il est donc préférable d'orienter les efforts pour prouver qu'il est en P :-) :-)n
Un exemple est le problème de la partition des nombres en k-box (extrait du blog de Fortnow & Gasarch, source originale: Cyberpuzzles du docteur Ecco ):
{ 1 , . . . , n } dans au plus k cases de sorte qu'aucune case ne possède x , y , z avec x + y = z }{ ( N , k ) | il existe un moyen de partition { 1 , . . . , n } dans au plus k cases pour qu’aucune case n’ait x , y, z avec x + y= z}
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Voici trois ajouts à la liste de Scott:
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